Ah ! un oeil, voilà qui présage du bon. L'infinitude de l'oeil me rappelle toujours l'immensité façon Blake ("Voir un monde dans un grain de sable,/Et le Ciel dans une fleur sauvage,/Tenir l'infini dans la paume de ta main,/Et l'éternité dans une heure"). Trève de digression ; je suivrais la suite du tableau avec intérêt ! ... Mais qu'en est-il du stade final du précédent ?
8 commentaires:
Ah ! un oeil, voilà qui présage du bon. L'infinitude de l'oeil me rappelle toujours l'immensité façon Blake ("Voir un monde dans un grain de sable,/Et le Ciel dans une fleur sauvage,/Tenir l'infini dans la paume de ta main,/Et l'éternité dans une heure").
Trève de digression ; je suivrais la suite du tableau avec intérêt !
... Mais qu'en est-il du stade final du précédent ?
Arf! C'est le même mon Laulo! Patience, je n'ai plus que les cheveux à faire avant de vous faire découvrir le modèle mystère...
Je croyais que tu ne faisais pas les hommes ?!
Ce n'est pas très gentil ni pour moi ni surtout pour la dame. M'enfin, encore une gaffe du Bertrand... ;)
Oups, autant pour moi ; voyant celui-ci en gros plan, j'ai cru que tu nous faisais, comme pour tes bouches sensuelles, des plans rapprochés de rétine.
Ah, ah !
Ne fais pas celui qui me prend pour un innocent gaffeur !
Un moment je me suis mis à espérer voir un clin d'oeil à la hitchcock et découvrir dans l'oeil un autoportrait d'Hubert =^.^=
Plaisanterie mise à part, c'est toujours aussi fabuleux.
Amitiés
Merci Manu. L'œil n'est qu'un détail et j'espère que l'ensemble sera aussi réussi que le mérite le modèle.
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