lundi 23 juin 2014

Le prix de la romancière 2014

Je connais Myriam Kournaf depuis que Thierry Taittainger me demanda de faire un portrait de la nouvelle directrice de l'hôtel Montalembert pour sa belle revue Senso il y a déjà 10 ans. J'avais pris beaucoup de plaisir à honorer cette commande.



Je me souviens que j'avais commencé ce portrait, en public, lors d'un festival airbrush à Spa, organisé par Hugo & Daisy Vervliet.



Depuis ce jour, Myriam ne manque jamais de m'inviter à la remise du prix Montalembert ou prix du premier roman de femme devenu depuis prix de la romancière. C'est toujours un plaisir de me retrouver dans cet univers cosy où la crème de l'édition française se retrouve en souriant pour honorer et accueillir chaque année une nouvelle venue. Je ne connais personne mais en reconnais beaucoup. Je me sens toujours en retrait, comme un témoin privilégié de cette faune littéraire et cette année j'ai décidé d'apporter mon appareil photo. Le champagne aidant, j'ai eu l'audace de sortir mon appareil sous le nez de ces dames et bien m'en a pris car j'étais invisible, c'était parfait. Voici quelques extraits.

Je ne connais pas tout le monde mais certains semblent comme moi, un peu étrangers.

Myriam, parfaite hôtesse.

Jean-Marie Rouart

Pour la deuxième année consécutive, le président du jury est Christophe Ono-Dit-Biot.

La gagnante du prix 2010 pour son roman Fourrure qui m'avait beaucoup ému, la magnifique Adélaïde de Clermont-Tonnerre.

À droite, Irène Frain en invitée.

Le remise du prix.

Dans le public, une autre figure étrange.

Christophe Ono-Dit-Biot prononce son discours.

Jambes dans la lumière.

Seul et un peu perdu,  Nicolas Bedos.

La gagnante est Fatima Bhutto pour le roman de sa vie: Les lunes de Mir Ali. (lire l'article de Christophe Ono-Dit-Biot)

Le trophée est signé Arthus-Bertrand

Le champagne est signé Laurent-Perrier mais Fatima ne boit pas, elle offrira sans doute cette magnifique bouteille.

Adélaïde, lumineuse.

Le président d'une édition précédente, Didier Van Cauwelaert.

Mesdames les journalistes, également auteurs et membres du jury:
Olivia de Lamberterie, Christine Orban et Catherine Schwaabe.

Quand la beauté est talentueuse: Fatima Buttho.

Fatima Buttho en dédicace sur la terrasse ensoleillée de l'hôtel Montalembert.

dimanche 1 juin 2014

Pacific Reach If

Voici mon fidèle destrier. Un Pacific Reach If. 18 vitesses. Une petite fusée. J'aime son design et j'aime rouler avec. Je l'ai un peu customisé en y ajoutant un garde-chaine, des gardes-boue, un bidon Klean Kanteen (adieu le goût du plastique), de nouvelles pédales pliantes, une béquille, des catadioptres, un nouvel amortisseur et une selle Italia, une mini sonnette, des poignées ergonomiques et un compteur kilométrique. Je fais environ 10 km par jour pour aller à l'atelier. Si vous vous demandiez comment j'avais la forme... En plus il est PLIANT! Son système est génial. J'ai mis du temps avant de me décider. J'avais pensé craquer pour un Bromton ou un Dahon quand je suis tombé dessus et j'ai craqué. Je l'ai acheté à Paris, en solde. J'ai déjà crevé deux fois mais je m'en fiche! Je l'aime mon vélo.