mercredi 25 juin 2014
lundi 23 juin 2014
Le prix de la romancière 2014
Je connais Myriam Kournaf depuis que Thierry Taittainger me demanda de faire un portrait de la nouvelle directrice de l'hôtel Montalembert pour sa belle revue Senso il y a déjà 10 ans. J'avais pris beaucoup de plaisir à honorer cette commande.
Je me souviens que j'avais commencé ce portrait, en public, lors d'un festival airbrush à Spa, organisé par Hugo & Daisy Vervliet.
Depuis ce jour, Myriam ne manque jamais de m'inviter à la remise du prix Montalembert ou prix du premier roman de femme devenu depuis prix de la romancière. C'est toujours un plaisir de me retrouver dans cet univers cosy où la crème de l'édition française se retrouve en souriant pour honorer et accueillir chaque année une nouvelle venue. Je ne connais personne mais en reconnais beaucoup. Je me sens toujours en retrait, comme un témoin privilégié de cette faune littéraire et cette année j'ai décidé d'apporter mon appareil photo. Le champagne aidant, j'ai eu l'audace de sortir mon appareil sous le nez de ces dames et bien m'en a pris car j'étais invisible, c'était parfait. Voici quelques extraits.
Je ne connais pas tout le monde mais certains semblent comme moi, un peu étrangers. |
Myriam, parfaite hôtesse. |
Jean-Marie Rouart |
Pour la deuxième année consécutive, le président du jury est Christophe Ono-Dit-Biot. |
La gagnante du prix 2010 pour son roman Fourrure qui m'avait beaucoup ému, la magnifique Adélaïde de Clermont-Tonnerre. |
À droite, Irène Frain en invitée. |
Le remise du prix. |
Dans le public, une autre figure étrange. |
Christophe Ono-Dit-Biot prononce son discours. |
Jambes dans la lumière. |
Seul et un peu perdu, Nicolas Bedos. |
La gagnante est Fatima Bhutto pour le roman de sa vie: Les lunes de Mir Ali. (lire l'article de Christophe Ono-Dit-Biot) |
Le trophée est signé Arthus-Bertrand |
Le champagne est signé Laurent-Perrier mais Fatima ne boit pas, elle offrira sans doute cette magnifique bouteille. |
Adélaïde, lumineuse. |
Le président d'une édition précédente, Didier Van Cauwelaert. |
Mesdames les journalistes, également auteurs et membres du jury:
Olivia de Lamberterie, Christine Orban et Catherine Schwaabe.
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Quand la beauté est talentueuse: Fatima Buttho. |
Fatima Buttho en dédicace sur la terrasse ensoleillée de l'hôtel Montalembert. |
dimanche 22 juin 2014
mardi 10 juin 2014
lundi 2 juin 2014
dimanche 1 juin 2014
Pacific Reach If
Voici mon fidèle destrier. Un Pacific Reach If. 18 vitesses. Une petite fusée. J'aime son design et j'aime rouler avec. Je l'ai un peu customisé en y ajoutant un garde-chaine, des gardes-boue, un bidon Klean Kanteen (adieu le goût du plastique), de nouvelles pédales pliantes, une béquille, des catadioptres, un nouvel amortisseur et une selle Italia, une mini sonnette, des poignées ergonomiques et un compteur kilométrique. Je fais environ 10 km par jour pour aller à l'atelier. Si vous vous demandiez comment j'avais la forme... En plus il est PLIANT! Son système est génial. J'ai mis du temps avant de me décider. J'avais pensé craquer pour un Bromton ou un Dahon quand je suis tombé dessus et j'ai craqué. Je l'ai acheté à Paris, en solde. J'ai déjà crevé deux fois mais je m'en fiche! Je l'aime mon vélo.
mardi 27 mai 2014
Agathe Roy
J'ai la joie de vous annoncer ma collaboration avec Agathe Roy qui sera mon agent pour toute commande de tableau.
lundi 26 mai 2014
Sky Shooter
Voici la toile que l'on a faite lors du salon Geekopolis et le lien vers le blog de Michel Borderie pour le reportage en images. J'ai passé un super moment avec des artistes talentueux, généreux et impliqués: Manchu et Julien Delval. C'était bien cool de sortir un peu de l'atelier. Le public était super sympa et j'ai fait quelques belles rencontres. Car j'ai des fans! Des vrais qui me suivent et qui m'aiment! Je n'en reviens pas et je leur en suis très reconnaissants. J'en ai revu certain lors des portes ouvertes des nouveaux Frigos hier dimanche. J'espère vous revoir bientôt les amis.
Sky Shooter acrylique sur toile 190/120 cm. Disponible à la galerie Daniel Maghen. |
jeudi 22 mai 2014
lundi 12 mai 2014
Claire Francisci (avec son imprimatur)
Claire Francisci ouvre son école de pole dance: www.polespiritparis.com
Claire fut le plus beau modèle de ma période pin-up. Je l'ai rencontrée grâce à Camille, une bricol'girl elle aussi danseuse au Crazy Horse. Sa longue chevelure blonde, ses jambes interminables m'ont inspiré plus d'une œuvre dont la couverture de mon artbook French Pin-ups (disponible chez Boo!press) En voici quelques exemples:
French Pin-ups, couverture de mon artbook chez BOO!press
Tulips
Tore vert
Tita for ever
Sublime diagonale
Paris coquin, fausse couverture
Le compas
Claire en scène
Claire assise
Cascade
On ne s'est jamais perdus de vue, nous échangeant nos vœux tous les ans. Il y a quelques années, elle m'a fait la joie de m'inviter à son mariage, un mariage de conte de fée, inoubliable, puis plus tard, elle m'a commandé le portrait de ses triplés!
Car cette beauté est une mère de famille épanouie et assumée. C'est l'un des seuls modèles que je vouvoie encore après toutes ces années. Je pense que la première séance de pose à été photographiée en argentique en 2000. Je n'arrive pas à croire qu'elle possède encore ce corps incroyable. C'est certainement le goût de l'effort et de discipline inculquée par la danse classique qu'elle pratiqua au point de pouvoir désormais l'enseigner.
Je connais mal le pole dance mais il me semble que depuis quelques années, comme le trip tease, cette discipline est sorti de son guetto pour atteindre des sommets de beauté et de technique et devenir véritablement un art, sans pour autant renier le côté séducteur de son érotisme sportif et aérien. Car c'est dans l'espace que se déploie comme au ralenti le compas de ces héroïnes. S'affranchissant de la pesanteur, elles tracent des arabesques écartelées qui nous mettent les sens dessus dessous.
J'adore ces arts qui nous touchent à plusieurs niveaux, qui provoquent des émotions esthétiques et sensuelles, cette pure beauté pour laquelle on se damnerait, c'est aussi comme ça que j'essaye de m'exprimer dans mon travail.
Chère Claire, je voudrais vous peindre à nouveau.
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